Le musée se situe entre le parc et le musée Couriot à l'Ouest, entre la gare Clapier au Nord et la médiathèque au Sud
La cité régionale du peuplement, de l’immigration et de la citoyenneté est un musée à l’entrée de Saint-Etienne qui se devait d’être un bâtiment public et un atout pour l’urbanité stéphanoise. Ancré dans la topographie, le bâtiment en profite pour avoir un toit accessible depuis le parc de l’actuelle médiathèque. C’est un belvédère.
La structure métallique fait architecture et dessine trames et scénographies du musée. La boite noire à l’entrée de l’exposition est le début du périple.
Le bâtiment devient un lieu social comme l’est son exposition, et le toit devient une 5eme façade habitée. La cité est ainsi un belvédère non seulement sur la ville mais aussi sur tout ce que l’on aura appris à l’intérieur.
L'actuel parc de la médiathèque se prolonge grâce au belvédère du musée
La structure créer ces cubes afin de pouvoir exposer. La structure fait scénographie.
L'entrée du musée est éclairé zénithalement et s'oriente vers l'entrée de la médiathèque
Au niveau du sol urbain, on retrouve des enmarchements qui permettent d'accéder à l'entrée du musée, plus haute. Ce parcours permet déjà de visualiser la scénographie intérieure.
L'entrée de la médiathèque et du musée sont au même niveau. L'introduction à l'exposition du musée se fait au préalable grâce à la "boîte noire", en descendant l'escalier.
Le musée offre également des espaces d'ateliers, pédagogiques ou professionels, ainsi qu'un amphithéâtre.
Au niveau du parc de la médiathèque, on retrouve le belvédère du musée, sa façade "toit" est donc habitée. Il y a une librairie, une salle polyvalente de rencontres et un bar. De plus, l'accès aux résidences d'artistes se fait ici.
Les résidences s'orientent vers la place qu'offre le belvédère et se tourne ainsi vers le paysage stéphanois qu'offre le terril.
On comprend la pluralité des programmes et leurs superpositions. La structure sert à l'archtecture et la scénographie. La toiture belvédère profite au parc de la médiathèque.
Le parcours jusqu'à l'entrée du musée se fait progressivement, en tournant autour du bâtiment. La façade principale est tournée vers le contexte urbain qu'est la gare, le parc et musée Couriot.
Volumétrie du projet inséré dans son contexte urbain. Toitures en zinc.
Squelette de la structure en doubles poteaux tenon-mortaise en bois. La structure dessine les lieux.
Dans le centre-ville stéphanois, à côté du tram se situe une dent creuse, entre une barre de logements et une rampe qui accède au parc urbain.
Le plan du projet s’organise autour de la rue principale qui fait office de la circulation et devient le lieu du dépôt du manteau. En face, il y a un lieu d’affichage sur des volumétries qui sortent du gymnase. De l’autre côté, ces volumétries servent de rangements pour le gymnase.
Depuis la rue du tram, on rentre à l’école en suivant le chemin piéton en dallage de granite noir et joints creux enherbés. Le parvis est triple : entrée de l’école, du gymnase et de la cour. On y retrouve les platanes centenaires existants. Le mur de la cour est bas et offre un banc pour l’attente des parents. La bibliothèque et la restauration s’ouvrent sur l’espace public, la cour et la forêt.
Le chemin piéton se termine par le dallage qui se dilate, laissant les joints creux enherbés créer une véritable pause dans le tissu urbain.
La lumière joue avec des ouvertures en imposte. Les classes ont un jardin privé, telle une extension extérieure. La structure se compose d’une ossature en bois massif, en double-poteau tenon-mortaise qui permet de délimiter les lieux. Les murs sont également en ossature bois et offrent une chaleur qui contraste avec le sol blanc. La structure du plafond du gymnase est étudié pour sa qualité acoustique. Ce plafond est fait d’une alternance de hauteur de suspentes bois pour répercuter le son et éviter l’écho.
Les toits sont multiples et à différentes hauteurs. En effet, les ouvertures en imposte permettent d'apporter de la lumière naturelle en tout lieux et de créer différentes hauteurs sous-plafonds.
Les circulations sont très importantes. Au Nord, on retrouve la percée urbaine depuis la voie du tram jusqu'à l'accès au parc à l'Ouest. Le parvis accède directement dans la cour ou permet d'entrer dans l'école ou dans le gymnase. La circulation principale articule les salles de classes, entre portes-manteaux et lieux d'affichage.
Le gymnase offre de grandes baies pour faire entrer le maximum de lumière, joue avec sa structure et surtout dessine le passage urbain qui le longe. Le mur de la cour s'abaisse pour que parents puissent s'assoir dans l 'attente de la sortie des classes.
Les ouvertures en imposte offrent une lumière naturelle partout et crée une généreuse atmosphère. La structure et les murs sont en ossature bois et contraste avec un sol blanc. Les volumétries externes au gymnase dessinent, à l'intérieur des rangements et du côté de la circulation des classes, le lieu d'affichage, en face du lieu du dépôt du manteau.
Les classes ont un jardin privé, telle une extension extérieure pour de nouvelles pédagogies. La structure en double poteaux tenon mortaise dessine les lieux d'affichages sur les volumétries qui sortent du gymnase, et celui du lieu du dépose manteau, avant d'entrer dans la classe.
La structure et les menuiseries amènent autant de lumière que ce qu'elles dessinent l'espace urbain. La sous-face de la toiture du gymnase s'équipe de suspentes bois de différentes hauteurs afin de répercuter le son et avoir une bonne acoustique.
Croquis de l 'existant, les quais forment l'espace urbain.
Sur les bords du port de Dublin, un vieux bâtiment reste vacant. Le projet se situe entre le Convention center, le pont Samuel Beckett, le théâtre de Libeskind et les nouvelles typologies d'habitats.
Entre rénovation et extension, le bâtiment comprend un café, une bibliothèque, une galerie de media, une salle de sport et un auditorium. L'attrait du lieu fait que le public serait aisément guidé jusqu'au média hub... même depuis la Liffey grâce aux escaliers depuis le bâtiment jusqu'à l'eau!
L'intérêt du projet a été là son processus. En effet, l'UCD proposait cet atelier de projet tel un dialogue entre architecte et ingénieur, entre fluides et lumières, entre structure et matériaux.
Vue du bâtiment et vue vers le centre ville de Dublin.
Vue du bâtiment depuis le pont Samuel Beckett.
Vue depuis la rue.
Concepts du projet de rénovation, entre percements des murs et percées urbaines.
Le bâtiment se veut urbain et veut offrir non seulement des vues sur la rivière Liffey mais aussi être poreux. Le passage est fluide et le projet veut être clair.
Véritable hub urbain, le projet accueille un amphithéâtre, une bibliothèque avec terrasse ouverte sur le Liffey, un accueil qui garde une texture de sol urbaine, des bureaux et une salle de pilate. Un large passage permet non seulement la vue sur la Liffey mais également son accès. Le bar se tourne alors vers ses terrasses aménagées.
Projet d'une unité entre les deux villes sous la forme d'une agglomération. Le projet de marché est double, marché intérieur et extérieur dans un parc urbain.
Le projet s'insère dans un projet urbain où Romans-sur-Isère et Bourg de Péage développe une unité. L"intervention se construit sur un axe qui devient le support de l’agglomération. Ici, notre projet de marché se situe au coeur du nouveau centre-ville de l’Agglomération.
Le marché se situe entre le lycée et un centre commercial vacant. Grâce à sa rénovation et son extension avec le marché, les magasins seront recouverts et le rythme du marché soufflera un vent de renouveau. Sa structure est ouverte pour laisser entrer la lumière. Le toit et les pares soleils crée l’atmosphère colorée si particulière a ce projet.
Le point essentiel se trouve dans le marché extérieur, nouveau parc urbain. Cela fait partie intégrante de l’insertion dans un site urbain. Le calepinage se dilate pour créer un espace vert, un parc au centre de la ville. Se sera ainsi un bon moyen de pousser l’économie locale et le côté social grâce à l’architecture de ce bâtiment.
Ce projet m'a permis de réfléchir à une typologie d'architecture «classique», les halles de marchés, et faire un projet de marché atypique.
Les halles de marchés s'adosse au centre commercial rénové. Les deux halles translatent et s'oriente vers le marché extérieur. C'est une véritable place urbaine et un nouveau parc urbain qui se dessinent alors.
Ambiance du marché extérieur.
Ambiance du marché intérieur.
Vue depuis le parc urbain vers les halles de marché intérieures.
La structure dessine l'organisation interne du marché. La texture du sol est à la même à l'intérieur qu'à l'extérieur, le marché est une vraie place urbaine.
Volumétrie du projet des halles et sa liaison urbaine avec le parc.
La hauteur sous-plafond permet d'apporter de la lumiére naturelle et la structure dessine l'importance de ses ouvertures.
En ossature bois, la toiture et la façade principale créent cette atmostphère originale de ce marché intérieur. Au Sud, la façade se protège du soleil grâce à des brises-soleil fait de briques cuites rouges de la région.
La façade face au parc urbain se compose de larges panneaux qui peuvent totalement s'ouvrir lors du marché.
Vue depuis la bibliothèque adultes vers le carrefour urbain.
La médiathèque est l'interstice entre les deux boulevards stéphanois et vient chercher l'angle de la parcelle. Pour y entrer, il faut longer les allées de platanes puis marcher sur le calepinage qui traverse le hall du bâtiment. Nous nous retrouvons alors dans le parc. Du côté du tramway se situe le bar.
La topographie du site pénètre aussi à l'intérieur de la médiathèque pour former bancs ou tables. S'impregner des livres de la bibliothèque enfants ou adultes, c'est s'assoir face au parc pour lire. A l'étage, la lumière court sur la sous-face courbée du toit.
L'escalier de la bibliothèque est éclairé par une fente zénithale tandis que la salle polyvalente profite de la lumière du Nord et de la vue au Sud sur la toiture courbée de la bibliothèque et des platanes.
Le bâtiment accompagne l'angle urbain dessiné par la gare Clapier au Sud et l'arret de tram à l'Ouest. L'entrée du bâtiment est multiple : elle permet d'accèder directement au parc Carnot comme elle oriente avec sa rampe vers l'espace de marché. La salle de lecture dessine cet angle tandis que la recherche de livres se situe entre le boulevard et le parc.
Le sol haut du boulevard entre dans le bâtiment et dessine l'espace de recherches avec des tables. Au centre se situe l'entrée qui dessert l'espace de bureaux à gauche, la bibliothèque à droite et le aprc en face.
Au rez-de-chausée, les enfants apprécieront de lire dans le banc formé par la menuiserie. Ils lieront en face du parc. La sous-face de l'étage permet de faire glisser le regard vers le paysage du parc depuis l'espace de recherches des livres. La lumière aussi glisse le long de cette sous face et éclaire les lecteurs.
La double orientation de la bibliothèque haute permet de lire toujours en face d'arbres, du parc à gauche ou du boulevard à droite.
En dessous, au niveau des enfants, c'est toujours mieux de lire assis et en face du parc.
La parcelle dessine l'angle entre la ville et l'église de Le Corbusier.
Firminy-Vert est l'un des plus célèbres sites de projet de l'architecte Le Corbusier. La ville a été pensé à sa façon. Le projet de pavillon d'exposition est alors consacré à son œuvre. La parcelle du projet se situe en centre-ville, au carrefour du centre ancien, des lignes de bus, des immeubles d'habitations, des bureaux, de l'église Saint-Pierre et de l'Unité d'habitation (au Sud-Ouest sur le plan de situation). La parcelle est donc très proche de l'église et profite de sa vue au Sud-Est. Son ouverture sur la rue et la ville est aussi très profitable au public pour l'inciter à entrer.
Le pavillon d'exposition est un repère dans la ville. Il permet d'offrir la culture et l'architecture de Le Corbusier à tout un chacun. L'idée du ruban vient donner du lien à la ville. Le ruban s'enroule autour d'un point repère qui serait le tilleul. Cet arbre est le seul grand élément de végétation de la parcelle. Le dallage a pour centre le tilleul. Le porte-à-faux et les escaliers du parvis viennent y répondre en épousant la forme ronde, tandis que le bâtiment est rectiligne. Le bâtiment s'oriente en direction de l'église, notamment grâce à la verrière qui articule tout le plan.
Le mur ruban encadre le plan et s'oriente vers l'église. Il s'enroule autour du seul élément vertical végétal. La place est urbaine autant qu' elle incite le visiteur à entrer dans le pavillon.
La vue sur l'église est imprenable. L'espace public et le pavillon la mettent en valeur.
Vue depuis l'espace public vers le pavillon.